Le Temps (Isabelle Rüf)

lundi 10 septembre 2012
par  NLLG

[...] Dans le recueil de poèmes, Le Silence aussi, souffle la même ironie [que dans Classé sans suite], elliptique, cynique, avec des éclairs de tendresse et/ou de désespoir. Il y a du Michaux dans la violence et l’incongru de ces textes brefs et élégants. “Lecteur, prends garde ! Ne mange pas ce livre !” y est-il écrit : la mise en garde ne vaut pas pour ceux d’Ourednik, c’est dévorer qu’il les faut.