La fin du monde n’aurait pas eu lieu
Ce texte, si réjouissant, pourrait être une suite d’aphorismes, d’observations très variées, voire décousues, sur la folie de l’époque. Mais deux personnages donnent corps à un solide, quoi qu’en apparence ténu arrière-plan romanesque... Il y a de la drôlerie, de l’ironie sans complexe de supériorité et un léger désespoir souriant. Du grand art.